Bernadette Boissié-Dubus. Semeuse de graines de folie.
Je hurle ma folie sans que tu ne l’entendes, ville peuplée de sourds, terrés comme des rats. Aveugles aux yeux ouverts ! Qui donc a pu s’éprendre, d’une race aussi vile gorgée d’assassinats ? Dans l’aube encore pâle brûle un autre soleil. Matin d’un jour...
Lire la suiteLe printemps arabe En effet, rien ne meurt. Derrière la parole se cache parfois sournoisement, un discours corrompu, le temps d’un rêve avorté. Éphémère révolte tous debout tous ensemble La peur au ventre Crier l’espoir des hommes Une marche pour la liberté....
Lire la suiteRien qu’un petit morceau de racine pour confondre l’éternité. Rien qu’une image sur une toile vierge où poussent des palmiers. Sur l’illusion D’une planète morte, à mi-chemin entre terre et ciel, je vois des crépuscules brumeux, des matins n’en finissant...
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